Appréciations de lecteurs de
En Algérie "du temps de la France"

DES APPRÉCIATIONS DE LECTEURS sur « L'indépendance, un combat qui continue »


De Jean P. - Métallurgiste en armements – 18 - Bourges
Moi, la Kabylie, j’y suis allé contre mon gré, pour faire la guerre ! Alors vous comprendrez mon émotion quand avec ce livre je me suis retrouvé sur vos pas. Cette fois je n’étais plus sur le qui-vive, l’arme prête à tirer, mais l’esprit libéré des risques d’embuscades. D’une école à l’autre - de pauvres écoles le plus souvent ! - je vous voyais conseiller les jeunes maîtres… Quel soulagement pour moi d’avoir pu imaginer ces lieux, ces gens, recevoir grâce à vous une image de la France à l’opposé de celle dont j’avais gardé le honteux souvenir.


De Djoudi K. – Opticien – Rüsselsheim – Allemagne.
Un chemin, une parole, pour moi c’est la base. Je tiens beaucoup à vous remercier pour le chemin que vous avez choisi. Que Dieu le conduise encore plus loin !


De Mireille N. – Sociologue spécialiste de Haïti – 13 – Venelles
Je viens de terminer votre livre : Je me suis régalée avec tout ce qui pour moi est souvenirs d’Algérie et de Kabylie. J’ai apprécié votre aptitude à associer l’histoire ou la politique aux anecdotes du quotidien. J’espère qu’un jour vous me raconterez comment vous travaillez, comment vous avez bâti cette œuvre que constituent vos trois ouvrages ! Continuez à écrire s’il vous plaît.





De Maurice et Marguerite R. – Syndicaliste - Ex Professeur d’E.N. – 18 – Bourges
Ton livre nous a captivé – il est admirablement écrit… il éclaire sur la période de fin de guerre, celle du travail pour établir l’indépendance, avec ses succès, ses hésitations, ses demi-succès, ses échecs. Pour ceux qui s’intéressent à l’évolution des peuples ce livre est important. On n’en ressort pas comme on y était entré ! Félicitations et très amicalement.


De Gilbert D. – Militant associatif - 37 – Montlouis / Loire
Ton livre m’a beaucoup intéressé pour ce que tu dis des personnages de la révolution algérienne et pour l’inventivité de votre travail pédagogique. Tes responsables ne sont pas tantôt tout noirs tantôt des chevaliers blancs mais des hommes réels avec chacun son caractère, ses appétits, son désintéressement, ses limites. Ainsi l’on comprend mieux comment l’histoire s’est faite dans les conditions extraordinaires où ils avaient à se débattre pour subsister et réaliser leurs plans. Quelle tâche exaltante vous avez assumée en formant des centaines de moniteurs et de monitrices là aussi, pour eux et pour vous, dans des circonstances matérielles, linguistiques… rappelant les premiers pas de l’Ecole républicaine française… sans parler des obstacles politiques hérités de la colonisation. Voilà un livre à lire pour sortir des clichés … un livre, en plus, bien écrit !


De Jean-Claude S. – Ex coopérant en Algérie – 13 La Ciotat
« L’INDEPENDANCE, UN COMBAT QUI CONTINUE » est bien une contribution essentielle à l’histoire de l’Algérie.


De Henri D. – Ex Directeur d’école à Ighil - Mahni – Azzefoun – Grande Kabylie.
L’Algérie tient une part privilégiée dans le cœur de bien des gens. Le dernier ouvrage de Jean Galland s’adresse particulièrement à eux. Il éclaire des moments de l’histoire algérienne sous un jour inédit, fruit de son expérience personnelle, riche, exceptionnelle, et pleine de ces « petits faits vrais » chers à Taine. J.G a beaucoup fait pour la compréhension et l’amitié entre Français et Algériens. Il continue !


De Arezki B. – 93 – Noisy le Grand
J’ai 31 ans. Votre livre va aider les jeunes d’aujourd’hui à comprendre ces années si obscures héritées du régime colonial tellement inhumain. Nous vous devrons beaucoup pour ce travail de mémoire. Permettez-moi d’ajouter ma reconnaissance à celle de mon père votre élève à l’école d’Akerrou en 52-54.


De Suzanne R. – Journaliste et romancière US - New York City (NY)
Le livre est arrivé hier, j’en ai lu une partie tout de suite en admirant comme toujours votre courage à vous plonger dans des situations difficiles et votre loyauté envers les enfants de l’Algérie. Tout ce que vous avez à dire sur les premières années de l’Algérie est fascinant. Je viens d’interviewer le romancier Anouar Benmalek. Il trouve que l’époque de Boumedienne, malgré tout, c’était un mouvement de pensée sociale et de grand espoir. « Nous allions construire un monde » a-t-il dit. Peut-être pensiez-vous comme lui ? Pour lui c’est à partir de 1980 que le pays a perdu son chemin.


De Yassine K. – Professeur – Alger
A propos de la guerre d’Algérie et des premières années de l’indépendance les auteurs ont parfois (souvent ?) tendance à survoler le cas de la Kabylie. On peut les comprendre… sans les approuver ! C’est pourquoi ton livre si bien pourvu d’informations sur l’Algérie du Djurdjura à la mer est irremplaçable.


De Sadek H. – Chercheur en géopolitique – Paris VII – 92 – Malakoff
J’ai lu L’INDEPENDANCE… avec la même avidité que les deux précédents. Il y a au moins trois raisons à cela :
1- La charge émotionnelle de cette époque avec certains moments poignants réellement vécus et émanant d’hommes, de femmes, d’enfants, de groupes sociaux composant des événements, des problèmes et des turbulences qu’a connus le pays fraîchement libéré.
2- Des matériaux et des documents authentiques, des repères chronologiques constituant un instrument de travail précieux pour qui voudrait recadrer et analyser une période contrastée sur laquelle ont été portées bien des appréciations contradictoires.
3- Enfin, pour ceux que préoccupent les problèmes complexes de la pédagogie du français langue étrangère, un aperçu rare et irremplaçable glané directement sur le terrain et nourri des efforts persévérants déployés par des pédagogues algériens et français confrontés à des difficultés et des obstacles décrits dans le détail. Ce livre est à lire pour ces raisons et sans doute encore pour d’autres, la qualité de l’écriture, par exemple !