Jean GALLAND

LES INTENTIONS DE L’AUTEUR
Mon grand-père maternel est mort de la guerre de 1914-1918. Mon oncle paternel est mort à la guerre 1914-1918.
J’ai voulu avec ces livres parler de l’engagement de ceux qui se sont opposés à la guerre coloniale d’Algérie,

Avant qu’elle n’éclate
en luttant contre le régime colonial et en proposant que de nouveaux rapports « dignes de notre temps » s’établissent entre la France et l’Algérie,

Après le 1er Novembre 1954
en faisant tout leur possible au gré des circonstances pour promouvoir l’idée de l'indépendance de l'Algérie et pour avancer vers la paix.

Depuis des années dans d'autres ouvrages c'est surtout la guerre que l'on raconte. Moi je dis le courage, l’abnégation, le coeur, la valeur de ceux qui patiemment, obstinément ont recherché la paix et la fin du colonialisme en Algérie.
Je raconte souvent ce que personne d’autre n’aurait pu raconter faute de l’avoir vécu comme ce fut mon cas ; par exemple cette nuit chez moi à Akerrou, en Juin 1954 avec le futur colonel Ouamrane ou bien le 1er Novembre 1954 passé en compagnie de
Bachir HADJ ALI, secrétaire du PCA, au pied du Djurdjura.

Jean Galland est décédé le 31 Janvier 2009
Vous pouvez néanmoins commander ses livres
que sa famille se chargera de vous faire parvenir

DES APPRÉCIATIONS DE LECTEURS sur « EN ALGÉRIE DU TEMPS DE LA FRANCE »
Lecteurs d'Algérie
Lecteurs de France


LECTEURS D’ALGÉRIE (de "En Algérie du temps de la France")


A.M. – Journal « LIBERTÉ »
Ce témoignage est essentiel pour la compréhension des « évènements d’Algérie » … Il en émane une sincérité très convaincante … Sans paternalisme, sans aucune concession à l’exotisme J.G. raconte simplement ce qu’il a vu, ce qu’il a fait, ce qu’il a ressenti.

C.A. – Professeur de collège
A propos de ton livre j’entends parler d’émotion, de passages poignants. Il y a eu des larmes, des vraies, à la lecture de ce qu’ont subi un père ou un frère disparu dans cette tourmente.

D.B. – Haut fonctionnaire de l’Ed. Nat.
Avec ce livre vous entrez de plain pied dans la littérature algérienne d’expression française. Certains passages ont leur place dans nos manuels scolaires.

H.S. – Responsable du PCA clandestin durant la Révolution
Je te suis reconnaissant de faire revivre ces luttes méritoires. Voilà des enseignements utiles pour aujourd’hui et pour demain.

K. MA. – Fils du chahid Si Areski el Ouattani
Soyez remercié d’avoir parlé de nos combats pour la liberté, pour que les hommes vivent fraternellement, dans la paix et la prospérité.

L. M. - Avocat
Quelle fresque magnifique sur les années coloniales de 1950 à 1955. Qui d'autre a déjà fait cela ?

M. S. – Inspecteur de l’Ed. Nat.
Toute la famille l’a lu avec énormément de plaisir. J’en suis à 120 pages et je n’attends pas pour te dire que je me délecte.

O. B. - Editeur
Je puise dans ce livre de nombreuses références et réflexions qui nous font tellement défaut actuellement.

S. S. H. – Ex-préfet, ex-ministre
Tu as su raconter avec talent une période décisive de l’Algérie.

 

LECTEURS DE FRANCE (de "En Algérie du temps de la France")


C. G. - Enseignant
Malgré la brièveté de votre séjour vous avez réussi à comprendre ce pays, mon pays depuis trois générations.
Ch. R. – Ex-enseignant en Algérie
Je souhaite le succès à votre livre si utile pour comprendre le quotidien des enseignants à cette époque.


C. J. - Insoumis

Ton récit dévoile ce que fut la colonisation, sa mystification des « départements français ».


D. H. – Ex-enseignant et militant en Algérie

Quelle émotion grand frère. Ta généreuse mémoire me confond. Tu as bien travaillé. Je t’embrasse.


F. N. - Déserteur

Ton livre nous fait très bien comprendre pourquoi ce qui a suivi était inéluctable. Je suis d’accord sur tout.


F. J. – Ex-enseignant en Algérie
Tu sais nous montrer le vrai visage de la colonisation son mépris de la population algérienne sauf lorsqu’elle avait besoin de soldats et de main-d’œuvre à bon marché.


H. G. – Directeur de revue littéraire

Beauté des lieux, des décors ; justesse des expressions ; musique et parfums des voix dont maintes se sont tues ; élans d’idéalisme aux bras tendus ; pleurs et cris mal contenus contre l’ignominie des injustices et des crimes impunis : on ne peut pas se libérer du constant envoûtement des récits.


L. J. – Ex-enseignant en Algérie

Ce livre est pour moi le meilleur « portrait » d’une époque détestable.


M. M. – Proviseur retraité

Vous nous faites connaître de l’intérieur le fonctionnement du PCA ce qui est extrêmement précieux.


H.D. – Professeur de lycée

Il fallait avoir le courage de dire ce qui touche au plus profond de l’être.


P. L. – Ex-directeur de l’E. N. de Bouzaréa
J’ai apprécié votre livre si mesuré dans sa rédaction mais si riche de qualités humaines, si précis, si transparent …


P. A. – Ex-instituteur à Akerrou dans les années 1940

J’ai passé avec ce livre des heures délicieuses.


R.M. - Historienne

Votre livre rend maintenant compréhensible le rôle du PCA autour du 1er Janvier 1954


S.A. – Etudiant en Histoire
Quel préjudice si ce témoignage n’avait pas été écrit !


S. W. – Militant héritier du PCA

Ton livre est un apport précieux pour la connaissance de l’histoire de notre parti … Il m’a appris de nombreux faits sur les luttes de nos militants dans les régions où tu as enseigné … Il va transmettre aux jeunes générations de véritables explications sur les mobiles et les méfaits de la colonisation française en Algérie.


V. R. – Ex-universitaire en Algérie
Vos citations de nos grands auteurs du XIXème concernant la colonisation m’étaient totalement inconnues.


V. D. – Natif d’Algérie

Vous me révélez une Algérie que je ne connaissais pas ou très mal. C’est si vivant, si riche.

DES APPRÉCIATIONS DE LECTEURS sur « La tête ici, le coeur là-bas »
Lecteurs de France
Lecteurs d'Algérie

LECTEURS D’ALGÉRIE (de "La tête ici, le coeur là-bas")


H. S. : Préfacier du livre, responsable du PCA clandestin pendant la guerre

L’ouvrage tient à la fois de l’autobiographie et du grand reportage… Les récits se relaient en contrepoint d’une rive à l’autre de la Méditerranée… L’auteur a eu le privilège assez rare de vivre ces épisodes intensément comme acteur-observateur… Je lui suis reconnaissant de n’avoir pas triché avec les réalités de mon pays… Ce livre arrive à point aujourd’hui pour élever la vigilance critique des deux pays.


K. Dj. - Opticien

Mon père est mort dans cette sale guerre et je vous suis reconnaissant pour ce que vous en dites, pour votre combat ; ma yewghe Rebbi.


K. Mo. -
Merci d’avoir écrit ce livre à la mémoire de nos héros tombés pour l’indépendance.


M. E. – Militant nationaliste

Les authentiques combattants vous rendent hommage.


M. A. – Administrateur mutualiste
Bravo et encore bravo ! Quelle émotion d’entendre citer les noms de ceux avec qui nous avons milité et combattu.


S. Z. - Etudiante
J’ai été très heureuse que vous évoquiez la maison kabyle traditionnelle en terme de patrimoine culturel à préserver.


Z. M. S. – Journaliste retraité
En Kabylie on parle avec fierté et émotion des écrits que vous avez consacrés à notre région et à ses hommes.

LECTEURS DE FRANCE (de "La tête ici, le coeur là-bas")


A. H. - Journaliste
Autour de moi on ne dit que du bien de votre livre du fait qu’on y retrouve vraiment l’Algérie.


A. G. – Ex-déporté en Allemagne
Tu accomplis le devoir de mémoire pour dire ce que tant d’autres s’acharnent à faire oublier.


B. M. – Enseignant syndicaliste
Je diffuse ton livre, mais surtout ne me remercie pas !


B. J. – Ex-enseignante en Algérie
Ce livre est maintenant pour moi un compagnon extraordinaire.


D. J. – Enseignante-poètesse

C’est un témoignage intègre et combien instructif.


D. F. - Notaire
Ce livre m’a passionné dès les premières pages.


F. P. – Conseiller régional

Comme militaire je me suis battu contre la guerre d’Algérie. Alors bravo pour tes témoignages.


H. B. – Conseiller général

C’est bien d’avoir eu le courage d’écrire cela. Il y en a tellement qui en souffrent encore aujourd’hui.


J. Am. – Militante humanitaire
Vous savez très bien nous faire entrer dans le vif du sujet. Un grand merci !


L. J. – Ex-Français d’Algérie

Je suis admiratif de la continuité, de la fidélité de vos observations… Vos écrits révèlent combien cette sale guerre a généré de malfaisances. Cordiales gratitudes.


M. Ph. – Ex-enseignant
Quel antidote contre la propagande officielle, le bourrage de crâne dont nous avons été victimes… On ne peut inventer cela ; c’est irremplaçable.


N. O. Ex-enseignant

La pacification ! Quel mensonge ! Quelle hypocrisie.


P. P. – Ex-Français d’Algérie
Quelle émotion à parcourir ces pages pleines d’humanité, de vérités que je ne connaissais pas !


R. J. - Enseignante
L’humanisme, le respect de l’autre, l’amour de l’autre, sont des valeurs qui me portent également.


R. M. - Historienne
Votre récit centré sur le milieu enseignant et la société communiste des années algériennes est pertinent. Votre manière d’intercaler des épisodes français et algériens est très judicieuse.